jeudi 25 octobre 2012

Votez pour Bruno !

Vous l'avez compris, finalement je fais une petite pause !

Les votes des Golden Blog Awards sont clos MAIS (et ça n'a rien à voir)... vous pouvez voter pour Bruno maintenant :



lundi 22 octobre 2012

RTB

Petite pause. Je me prends un jour de RTB (un jour de Réduction du temps de Blog !)
Sans vouloir vous raconter ma vie, qui ne doit pas intéresser grand monde, j'ai eu une lettre un peu compliquée à écrire ce weekend, ça m'a pris toute mon énergie ! Non mais vraiment, vous n'imaginez pas...

Et puis je réfléchis à une nouvelle qui commence à me prendre toutes mes pensées (je me réveille la nuit pour noter des idées...), je continue celles en cours, je pense à d'autres sites ou blog qui n'ont rien à voir avec l'écriture... Bref, ça se bouscule au portillon. Mais du coup, je n'ai rien à écrire pour mes bulles.

Un petit jeu de sélections de phrases au hasard va s'imposer rapidement !

Si j'ai l'inspiration je repasse dans la journée, sinon, à mercredi les p'tits zamis, très chers lecteurs, public adoré !
(Mais je reste dans le coin pour répondre à tous les commentaires bien sûr !)

dimanche 21 octobre 2012

La bulle du dimanche

Pas de photo ces jours ci...
Mais ceci m'a fait sourire (il y a des priorités dans la vie tout de même !) :







vendredi 19 octobre 2012

Quand les haïkus virent à l'absurde

Avec toute cette pluie, je suis à sec d'idées....
Mais voici des petits Haïkus du vendredi !

L'épée parapluie
Je joue avec mes neveux
1, 2, 3, armez !!

Luit sur la chaussée
le plastique gris de mes bottes
Splach, dans la flaque !

La pluie chante là-haut
sur le toit de mon salon
En bas ? Pas un bruit !


Parce que quand je ne sais pas quoi écrire, je fais des haïkus. 
Ou des phrases absurdes...
Tiens, que donnerait un haïku absurde ?

Saisons épicétou
les oiseaux tirent leurs bras sots
Ou jamais peut être ?


Bon week-end !

mercredi 17 octobre 2012

Qu'est-ce qui vous fait sourire ?

Moi je souris quand :

- Je reçois un SMS de mon neveu adoré.
- Mon autre neveu invente des chansons sur les crottes de nez.
- La boulangère me tend une baguette encore bien chaude.
- Quelqu’un que je ne connais pas me sourit dans la rue.
- J'arrive à faire croire quelque chose d'incroyable un 1er avril.
- Dans les magasins, je parle fort à mes copines à travers les cloisons des cabines d’essayage.
- Je suis entourée de gens que j'aime autour d'un repas et d'un bon verre de vin.
- Je compte les pois d'une coccinelle pour trouver quelle âge elle a.
- Je me rends compte que je viens de dire une énormité, et que tout le monde me regarde éberlué !
...

Et vous ?

lundi 15 octobre 2012

Tchin !

Ils nous ont emmené par groupe. Mon lot, c'est le 1203.
Dans le trieur on a fait des paris. On a joué à tire-bouchon. Chaque bouchon devait imaginer sa fin. Pour ma part, j'ai promis de sauter comme un zébulon, quelle que soit la bouteille sur laquelle je finirais. Je vais hurler de joie. Ça va leur en boucher un coin. Je vais sauter tellement haut en faisant tellement de bruit qu'ils s'en souviendront tous.

Me voila sur une banale bouteille de cidre. Un cidre "Reflet de France" en plus. Même pas un bon produit fermier. Comment voulez vous faire des étincelles sur une boisson de grande distribution ?
La bouteille est fade. Elle n'a aucune conversation. Aucune histoire à raconter. 
La capsule est ridicule. Sans intérêt. Si je ne fais pas attention, je vais ramollir du liège !

Après des mois d'attente dans cet entrepôt de supermarché; je me suis enfin retrouvé dans les rayons. Je n'ai attendu que 2 jours avant de faire le fier sur le tapis roulant de la caisse. Bien au chaud dans un caddie à roulettes, je souris d'avance en imaginant le frais du frigidaire qui m'attend.

Je me requinque depuis hier. J'ai une forme olympique. La température est idéale. Je suis entouré de bons fromages et de légumes de saison. 
Je vais leur faire une fête de tous les diables ! C'est quand ils veulent, je suis prêt !

Enfin mon heure arrive.
Elle prend la bouteille. La pose sur le plan de travail de la cuisine. 
Doucement, elle retire la petite cage en fer qui me retient au goulot.



PAF !


Je n'attends même pas qu'elle me touche pour m'éjecter !
Sans crier gare, j'explose, je m'envole, je bondis, je sursaute, j'éclate de joie, je vole !
Le gaz ne fait qu'un tour dans le flacon. Prise au dépourvue, la bouteille explose à ton tour. En milles éclats. 
Quel feu d'artifice ! Tout virevolte entre gaz et pétarade. C'est magnifique !
Je vole avec la rapidité d'un airbus A320, Malheureusement ma course est très vite ralentie. Je rebondis dans l'oeil de la dame. Mais j'ai de l'élan. Alors, je suis propulsé au fond de l'entrée, où je termine ma course devant les yeux ébahis d'un enfant.

J'attends les applaudissements qui n'arrivent pas.
Ah, ça je leur avais bien dit que je ferai une sortie de tous les diables ! Dommage que les autres bouchons du lot 1203 n'étaient pas là pour voir cela ! J'aurai fait un carton !



Note de l'auteur : Et moi maintenant j'ai un oeil au beurre noir !

dimanche 14 octobre 2012

La bulle du dimanche

La logique des enfants, ça ne se discute pas !




vendredi 12 octobre 2012

Tout cela à cause d'une paire de chaussettes vertes

Ce soir, je n'arrive pas à trouver ce que je vais vous raconter demain.
Ça m’énerve quand je suis comme cela. J'ai toujours l'impression que j'ai utilisé le plein d'idées qui m'était imparti.
Voila, c'est exactement cela. En fait, je me dis que j''ai un petit réservoir à idées. Une sorte de boîte imaginaire, dans un coin de ma tête d'où je sors mes histoires et qui maintenant est vide ! J'ai tout écoulé !
C'est idiot car je fini toujours par retrouver quelque chose. Pourtant ce soir, rien ne vient.
On dit que, dans ces cas là, il faut écrire tout ce qui nous passe par la tête. Qu'ainsi, l'inspiration arrive toute seule.
Alors, voici en direct mes pensées du soir.
Mon réservoir à idée est vide ! 
Flutuche alors. 
Je vais devoir le remplir un peu. 
Aller dans la forêt en trouver ? Il est bien trop tard. Chercher pour essayer de piquer en douce les idées des autres ? Pas mon genre (et puis je n'ai rien trouvé). M'auto hypnotiser pour que sorte de mon corps des histoires insoupçonnées ? Mouai.... Aller dans le magasin des idées ? Si seulement on pouvait trouver cela aussi facilement qu'une paire de chaussettes vertes ! 
Moi qui déteste acheter des chaussettes. C'est idiot comme comparaison. 
Que vient faire cette paire de chaussettes vertes dans ma quête d'inspiration ?
Sans doute un petit reliquat d'idée incrusté dans le fond de la boîte. Une petite idée toute perdue qui aurait été oubliée au fond du réservoir à histoires presque vide. Il restait une petite paire de chaussettes vertes que je n'avais pas utilisée dans mes précédente récits. 
Et la voila qui ressort, comme ça, sans aucune logique particulière. 
Elle est un peu stupide cette paire de chaussettes. Ce soir, elle ne deviendra rien de plus qu'une idée oubliée...
C'est à n'y rien comprendre. Pourquoi n'ai-je pas pensé à une scie à métaux ou un trombone en forme d'étoile tant qu'on y est ?
Je doute que la technique de chercher dans le vide soit très pertinente.
Je commence à m'y perdre dans toutes ses idées qui n'en sont pas.

Aussi, si vous avez des suggestions pour des sujets la semaine prochaine.... les commentaires sont ouverts à toutes les idées. 
Parce que moi, ce soir, je sèche ! (et oui, comme les chaussettes de l'archiduchesse. Qui avait des chaussettes vertes, c'est bien connu !)

mercredi 10 octobre 2012

Page 56, cinquième phrase

Page 56, cinquième phrase ...


- Le muscat est rond et gourmand et on monte d'un cran avec le riesling vieilles vignes, très épuré ! Dit fièrement Régis, son énième verre de vin à la main.
Il a décidé de faire le tour des caves avec ses amis lors d'un week-end "entre potes". Une belle excuse pour se défiler du quotidien et s'amuser de surenchères de blagues idiotes, juste pour le plaisir de faire rigoler les copains ! Et puis aussi parce que ce genre de virée c'est une belle occasion de se faire plaisir autour d'une passion commune : le bon vin !

Après moultes dégustations, après un bon dîner très joyeux, après avoir épuisé leur répertoire de chansons, après s'être remémoré le bon vieux temps, les amis retournent à l’hôtel. 
Prétextant un oubli de dentifrice, Mathieu fait la tour des chambres, déclenchant une bataille d'oreillers géante. La règle est toujours la même depuis l'enfance : Le premier désarmé à perdu. 
C'est quand Régis, l'oreiller tourbillonnant au dessus de sa tête, a hurlé à Charles à l'autre bout du couloir : 
- Viens un peu ici, espèce de psychopathe à fourrure !!
Que les autres clients de l'étage sont sortis de leurs chambres pour râler  Le plus impressionnant était ce touriste hollandais. Les amis n'ont pas bien compris ce qu'il disait, cependant, il a calmé tout le monde !

Au petit déjeuner, les regards sont flous et peu assurés. 
L'heure d'appeler les femmes arrive. Charles, toujours très convainquant explique à son épouse que la région est magnifique. Elle est un puzzle de 1000 parcelles dont chacune représente un terroir unique, affirme t-il de bon matin !

Régis se moque de lui. Il rit de la façon dont ses amis se plient à ce rituel très hypocrite du coup de fil aux épouses. 
- Vivre avec quelqu'un te ferai du bien, tu sais Régis. Lui dit Charles en rangeant son portable dans sa veste. 
Régis s’apprête à répondre quand son téléphone se met à sonner. 
- C'est une excellente raison de changer de sujet, dit il à Charles, le regardant droit dans les yeux. Puis il s'éloigne pour prendre l'appel.
Chacun termine son petit déjeuner dans le calme. Régis toujours au téléphone s'agite de plus en plus. 
- Sans doute le travail, ironise Mathieu.
Régis gigote sur sa chaise, et d'un ton décidé et sec il hurle dans la salle du restaurant :
- Le projet de charte des droits des détenus comprend des articles qui appartiennent soit au modèle bleu, rouge ou vert, et pour certain au rouge et au vert. Qu'est ce que vous venez m'emmerder avec vos modèles jaunes de bon matin ? En plein week-end en plus !
C'est tout de même pas croyable !

La phrase laisse un blanc dans toute la salle. Plus une seule petite cuillère ne touille le moindre café. Les mastications cessent et tous les regards se tournent  successivement de Régis à la table des trois amis. Régis s'en rend compte. Il parle de plus en plus doucement. Charles et Mathieu, un peu gênés regardent autour d'eux. 
- Espérons que le Hollandais d'hier ne soit pas dans les parages ! S'amuse Mathieu.
- Inch'Allah, comme dit si bien d'homme arabe, répond Charles en croquant dans un croissant.

Et les voila repartis pour une journée de blagues et de plaisanteries en tous genre. Car, quoi qu'ils fassent, quand ils sont ensembles, et ce depuis qu'ils se connaissent :
"So there was, no going foward and no turning back." Ils prennent la vie comme elle arrive en trinquant aux bonnes et belles choses. Ils s'amusent. Ils s'amusent et ils s'aiment !

lundi 8 octobre 2012

Somnolence


Dans la salle sombre et confortable du cinéma, je regarde le film.
Il fait chaud, juste ce qu'il faut.
Le ronron s’installe, l'histoire se met en place.
Depuis cinq minutes je gigote sur mon siège  Mes jambes s'engourdissent. Mon corps se fige de plus en plus. J'ai beau changer de position et essayer de me concentrer sur le film, j'entre malgré moi dans un état de somnolence incontrôlable.

Je décide de fermer les yeux. Juste quelques secondes pour reposer mes muscles. Le bruit de l'histoire est agréable. De temps en temps, je peine à ouvrir un oeil pour vérifier une scène. Sinon c'est un bruit ou un silence qui m'interroge et m'arrache à mon étourdissement.
Le film continue et ma tête s'alourdie. Je comprends de moins en moins ce qu'il se passe. Dans mon corps et dans le film. Tout se mélange un peu. Mon cerveau fait des tours dans sa boite crânienne Je le sens ralentir de plus en plus. Je m’installe dans un doux coton. Mes yeux se ferment pour de bon et mes oreilles se laissent bercer par la bande son du film. L'histoire m’échappe.

Je me réveille dans un petit sursaut. Je ne comprends plus rien à l'histoire. Alors j'attends, les yeux fermés le générique de fin.
Le film à l'air de bien se finir. Les autres gens ont le sourire.
Moi aussi j'ai le sourire. C'était si agréable de dormir un peu. 

C'était pas mal, non ? Dis-je innocemment en sortant du cinéma ! 

dimanche 7 octobre 2012

La bulle du dimanche

Envoyé par Caro, ce panneau parisien pour garder le sourire !


vendredi 5 octobre 2012

Secrets de managers

On m'a envoyé ce petit jeu pour briller en entreprise.
On peut mélanger toutes les lignes. En prenant un mot de chaque colonne, on peut ainsi faire des phrases qui en jettent ! Parce que être un bon manager, ça ne s'improvise pas ... 

  
A
B
C
D
E
L’excellence
renforce
les facteurs
institutionnels
de la performance
L’intervention
mobilise
les processus
organisationnels
du dispositif
L’objectif
révèle
les paramètres
qualitatifs
de l’entreprise
Le diagnostic
stimule
les changements
analytiques
du groupe
L’expérimentation
modifie
les concepts
caractéristiques
du projet
La formation
clarifie
les savoir-faire
motivationnels
des bénéficiaires
L’expression
perfectionne
les résultats
participatifs
de la démarche
La méthode
dynamise
les blocages
stratégiques
de la problématique
Le vécu
programme
les besoins
neurolinguistiques
des structures
Le recadrage
ponctue
les paradoxes
systémiques
du métacontexte


C'était une semaine sans histoire ! J'essaie de vous en faire une la semaine prochaine.
Bon week-end les p'tits zamis, très cher public, lecteur adoré ! Pensez à sourire :)

mercredi 3 octobre 2012

Trop... c'est trop !

Aujourd'hui, j'ai passé ma journée à entendre partout :

C'est trop...

C'est trop beau,
C'est trop bon,
C'est trop bien,
C'est trop bête,
C'est trop pas la peine,
C'est trop nul
....

Moi je dit STOP au trop !

A force d'en mettre partout, on finit par ne plus dire les choses à leur juste valeur. Plus besoin de vocabulaire puisqu'avec un unique mot, on peut exprimer tous les synonymes d'un seul et même petit adjectif,
Terminé les délicieux, les succulents, les magnifiques, les somptueux, les ravissants, les superbes, les exaltants, les grandioses, les incroyables, les sensationnels, les lamentables, les pitoyables, les funestes, les désolants, les inutiles, les superflus, les désuets, les redondants et autres superfétatoires...
Plus de luxuriant, de luxueux, d'éblouissant, d'étourdissant, de fabuleux, d'affamé, de vorace. Et encore moins de terrible, de cruel, de dantesque, d'endiablé, de dramatique, d'effrayant, d’effroyable ou de terrorisant. 
Aujourd'hui on a juste trop peur ou trop faim.

Avec ce petit trop de rien du tout, on ne dit plus rien. On e faut plus d'effort pour chercher les bons mots. On dit juste, c'est trop si ou trop ça en insistant plus ou moins sur le O du "trop" pour faire comprendre l'importance de la situation.

Alors, je dis non ! 
Il est temps de retrouver nos bons vieux adjectifs si imagés qui font la richesse d'une conversation. Vous ne trouvez pas ?
Et au galop même !
(oui, je sais, elle est facile... mais c'était trop tentant !!!!)

lundi 1 octobre 2012

Rhodoïd, mince alors !!

On en a déjà parlé, je sais, mais figurez-vous que mon iPhone a plus de vocabulaire que moi !

Et oui ! La dernière fois, je papotais en SMS, et pour je ne sais plus quelle raison, je voulais écrire : rhooo , mince alors !!! 

C'était risqué, je sais. Et le monsieur n'a pas beaucoup aimé le "rhooo" 
Car par une opération que je n'explique pas, un monsieur a pris la place de la dame lors de la dernière mise à jour... Avant c'était une dame qui me parlait quand je demandais des trucs à mon téléphone. Et bien maintenant c'est un monsieur. C'est arrivé du jour au lendemain, comme ça. Paf !
Il ont envoyé du renfort !! La dame a du en avoir marre de mes doigts de poulets.

Bref, pour en revenir à mon rhooo, qui n'est pas une déglutition sonore mais une façon d’exprimer un étonnement (un oulalalalala, en quelques sortes), le monsieur de l'iPhone me l'a remplacé, avant que j'ai eu le temps de dire ouf, par :

Rhodoïd !

Autant dire que le message ne voulait plus rien dire. J'ai envoyé un SMS avec écrit :
"Rhodoïd, mince alors !"
En fait, il se font des blagues entre téléphones pour se marrer en regardant nos têtes quand on lit nos messages. Parce que là, j'aurai bien aimé voir la tête du lecteur quand j'ai envoyé mon rhodoïd !! Le lecteur en question c'était Catherine !! Elle a du faire une de ses tête. Genre plisser les yeux, puis prendre un air étonné : Rhodoïd ??? Rhodoïd ? Mais elle est folle ou quoi ? Qu'est ce qu'elle me raconte là ? (dernière phrase à dire avec l'accent d'Arnold dans Arnold et Willy bien sûr !!) 

Et aussi incroyable que cela parait-ce, rhodoïd, ça existe comme mot. C'est une marque déposée pour désigner une matière plastique à base d'acétate de cellulose, transparente et incombustible. Son nom est une contraction de Rhône-Poulenc et celluloïd.
Pas facile à recaser dans la conversation n'est-ce pas ? Et bien mon super monsieur à moi, il a réussi lui !

J'en ai donc conclu que, si les gars dans les iPhone font des concours de celui qui recasera le mot le plus improbable... le mien est en bonne place. Il est bien plu doué que la dame d'avant en tous cas.